Très appréciés lecteurs/trices :

LES ÂGES ENTRE LES RACES

Je m’empresse de vous faire parvenir avec une joie immense quelques textes du très Vénérable Maître FULCANELLI, recueillis dans une œuvre ultime, que peu connaissent, intitulée : FINIS GLORIAE MUNDI, ‘La fin de la gloire du monde’.

Premièrement cette œuvre indique que Fulcanelli est toujours vivant, tel qu’on l’a dit mille fois, du fait qu’il a obtenu l’élixir de longue vie, dont en témoigne M. Jacques d’Arès, à qui Fulcanelli lui-même adressa les textes afin de les publier, voyons :

« J’avoue avoir été surpris ─ on le serait beaucoup moins, et je dois même dire que je restai stupéfait ─ quand je reçus à la fin de juin 1999 une longue lettre datée du 25 du même mois, accompagnant un manuscrit intitulé Finis Gloriae Mundi. Je cherchai immédiatement la signature de cette lettre, ma surprise redoublant en lisant la dernière ligne :

« Bien à vous,

Fulcanelli-Frater Adeptus Heliopolitensis ».

Ce qui précède, amis et amies, constitue un fait historique qui brise l’athéisme de cette race caduque dans laquelle nous vivons et donne sa place à la science hermétique que nous avons appelée à travers le temps ALCHIMIE.

Cependant, l’information que votre serviteur veut vous faire parvenir se rapporte au fait que, finalement, grâce à la divinité, cet Adepte, Fulcanelli, apporte dans cette œuvre un grand éclairage sur ces temps qui nous ont causé tant de maux de tête quand nous voulions nous expliquer ce qui s’est passé entre chaque race, ou depuis combien de temps a réellement eu lieu l’effondrement de l’Atlantide et bien d’autres secrets.

Sans plus tarder, je vous laisse maintenant quelques extraits de l’œuvre de ce grand Adepte d’Héliopolis, les voici :

« Quand nous commentions brièvement l’obélisque de Dammartin-sous-Tigeaux, nous le déchiffrions à partir des écritures ─ II Pierre, 3,5-7─ et de la tradition grecque. Elles assurent que le monde passe alternativement par l’eau et par le feu purificateurs, à des intervalles que nous estimions de MILLE DEUX CENT ANS.  

Il ne fallait évidemment pas prendre ce dernier nombre littéralement : nous n’étions pas si ignorants pour penser qu’un déluge ─ et surtout le déluge biblique ─ aurait dévasté la planète aux alentours de l’an 700. Même ainsi il est vrai, si nous acceptons le témoignage du chroniqueur Grégoire de Tours, que les deux siècles durant lesquels les rois de la première race régnèrent sur les francs, auraient vu de nombreux bouleversements climatiques et cosmiques tels que des aurores boréales sur les Ardennes, des chutes de météorites en feu dans le golfe du Morbihan, ou la submersion de la forêt d’Avranches formant, dès lors, la baie du Mont-Saint Michel. Ces convulsions limitées ne pourraient se comparer à la purification intégrale de notre globe. Nous rougissons d’avoir à préciser certains points si élémentaires, mais les gloses, quand nous en avons par hasard eu connaissance, nous firent tomber dans un mélange d’hilarité et de fureur.

Elles n’auraient pas pour autant mérité une seule ligne de rectification publique si elles n’avaient pas contribué à maintenir l’expectative malsaine d’un cataclysme éminent. Expectative exacerbée par des apprentis démiurges qui ne sont que des souffleurs [c’est-à-dire : des pseudo-scientifiques], mais malheureusement des souffleurs très dangereux. Qu’est-ce donc qu’une année pour l’alchimiste qui suit les enseignements de la nature, sinon un cycle qui embrasse la totalité du zodiaque ? Ainsi on calculera, selon les besoins, l’année solaire et l’année précessionnelle, les années planétaires et les draconitiques qui régulent les éclipses, et aussi ces longues années que parcourt le Soleil Noir et que les grecs désignèrent comme le mythe de Phaéton. Les mille deux cent ans que nous évoquions avant sans voir précisé l’unité de base représentent, par conséquent, l’élévation du zodiaque à une puissance et à une perfection de l’ordre des centaines, un nombre symbolique à la manière du Livre de Daniel ou de l’Apocalypse, quand saint Jean parle des mille deux cent jours durant lesquels le fils mâle sera nourrit dans le désert.

Cependant nous n’avions pas encore observé dans notre creuset la dernière révolution, et nous étions tributaires pour nos commentaires des incertitudes et des perspectives de l’époque. Quand nous remîmes à Eugène Canseliet le manuscrit des DEMEURES PHILOSOPHALES, les géologues venaient juste de découvrir, inscrite dans la mémoire des roches, l’alternance énigmatique du Nord et du Sud magnétiques au fil des âges. Nous avions des raisons de penser qu’une telle inversion s’expliquait du fait que toute la sphère se soit retournée sur son propre axe, ce qui n’arriverait qu’accompagné de terribles cataclysmes. Les révolutions magnétiques, qui se produisent aussi dans le creuset, s’observent alchimiquement plus facilement dans la voie brève que dans les autres. Nous eûmes l’intense surprise de constater dans nos opérations que ces sensibles sursauts convulsifs n’avaient pas fatalement lieu si le champ se transformait en travail autour de la matière. Ensuite, les mystères du FEU CENTRAL étant connus avec une plus grande précision par les progrès de la science géologique, nous savons que l’inversion des pôles magnétiques ne signifie pas la rotation de la masse planétaire. Par conséquent, la double hélicoïde de l’obélisque de Dammartin-sous-Tigeaux ne symbolise pas la marche apparente du Soleil, comme nous l’avions imprudemment supposé, mais, en le rapportant au mouvement de l’ensemble à son sommet, la double spirale magnétique interne de notre globe et la formation temporaire d’un quadripôle.

Cette connaissance est récente. Un article de MM. Valet et Courtillot ─ Les inversions du champ magnétique terrestre, La recherche, N. 246, 1992─ décrit l’histoire géomagnétique de notre planète avec quelques-unes de ses causes. Il ne reste qu’à tirer les conclusions qu’ils ont si bien placées sous les yeux du lecteur. Nous voyons, dans leurs diagrammes, l’inversion des pôles se produire rapidement puis cesser durant de très longues périodes de près de cent millions d’années solaires, à savoir un quart ou une saison de la demi rotation de notre galaxie. Quand, après de tels arrêts, les pôles reprennent leur danse, cette nouvelle mise en mouvement coïncidera, tel que le montre la Paléontologie, avec le renouvellement drastique de la faune et de la flore, en même temps que semblent alors se situer les convulsions volcaniques et les inondations purificatrices. Deux d’entre elles ont été datées avec une précision suffisante. La fin de la deuxième correspond à l’extinction des grands sauriens de l’ère secondaire.​

Depuis l’apparition de l’humanité actuelle, bien que nous soyons à l’échelle géologique dans une phase d’alternance rapide, la Terre n’a connu qu’une brève inversion des pôles. Nous avons calculé la date approximative grâce aux diagrammes de Valet et Courtillot : le mouvement qui resitua le pôle magnétique aux environs du Nord géographique eut lieu vers l’an 8000 av. J.-C. L’humanité laissa alors derrière elle la vie sauvage de chasseurs nomades, elle domestiqua les animaux, cultiva le sol, construisit les premiers villages et, ainsi, fonda le germe des grandes civilisations historiques. Cette coïncidence n’est pas le fruit du hasard. […]​​

En scrutant ainsi le passé de la Terre comme les physiciens sondent les profondeurs des mers, les géologues découvrent à nouveau quelques fragments du secret du Grand Art dont le creuset est la Nature et l’artiste le Créateur même. Malgré l’incommensurabilité de l’échelle des temps, le rythme de révolution des pôles magnétiques terrestres reproduit, avec une attitude étonnante, le rythme qu’on observe dans la voie brève : mille ans sont pour Dieu comme un jour, disent le psalmiste et l’apôtre ─ Psaume 89, 4 et II Pierre, 3-8─. […]​​​​​​​​

Chacune des révolutions des pôles magnétiques est accompagnée, semble-t-il, de perturbations dans les climats et dans les terres. Au début du mouvement d’inversion vers l’an 10 000 av. J.-C, eut lieu la fin de la dernière ère glaciaire. Les banquises reculèrent, tandis que les eaux marines gonflaient progressivement et submergeaient les zones littorales. Or, il s’agit de la date donnée par les prêtres de Sais au législateur athénien Solon pour la disparition de l’Atlantide, selon le témoignage de Platon.

Au début de ce siècle, nous pouvions encore prêter foi au récit du grand philosophe qui situait l’île merveilleuse « au-delà des colonnes d’Hercule », lui attribuant une superficie « plus grande que l’Asie et la Libye réunies ». L’effort des archéologues nous a convaincu que les prêtres de Sais avaient une connaissance partielle de leurs propres archives, et qu’ils confondaient deux cataclysmes d’une ampleur incomparable. […]

Mais au-delà de ce cataclysme récent, la mémoire des convulsions océaniques et une submersion qui eut lieu des millénaires avant « au-delà des colonnes d’Hercule » dominait encore dans le temple de Sais. […]

Les auteurs qui entonnent leur chant funèbre coïncident sur ce point essentiel : l’Atlantide se serait effondrée par l’abus commis par ses prêtres-mages sur la matière et sur les âmes. M. Bergier [auteur d’une œuvre qu’il a écrite en collaboration avec M. André Ruellan] voyait dans ce mythe un « ressac du futur », l’anticipation du destin de notre propre civilisation. Quand il écrivait ces pages, très peu donnaient du crédit aux sciences traditionnelles. Son avertissement tomba dans le vide. […]

Au siècle de Louis XIV, les souffleurs [faux alchimistes] rêvaient de remplir leurs caves de tas d’or, rivalisant ainsi avec la vaine splendeur des rois. Les folies d’aujourd’hui ne sont guère moins importantes et moins naïves, bien qu’elles s’avèrent considérablement plus sinistres. C’est du pouvoir occulte sur l’âme du monde et celle des peuples dont elles s’enivrent, utilisant pour y parvenir, indifféremment, les moyens banals de la politique ou de l’économie et les connaissances issues d’une science débordante. D’une part on ose sortir le germe de la vie en fabriquant, pour propager la terreur, des virus aux effets incurables pour la médecine ordinaire, certains si foudroyants que la médecine universelle n’aurait même pas le temps d’agir. D’autre part on simule l’inversion des pôles magnétiques ou on effectue des distorsions sur le champ terrestre pour attirer les foules vers des états d’hypnose, de disponibilité médiumnique ou de fureur aveugle. Ou on attaque délibérément la régulation du climat et du temps. On pervertit, enfin, la théurgie, et on invoque des monstres que ni les mages assyriens les plus dégénérés n’auraient osé sortir de leurs abîmes. Les atlantes mythiques se risquèrent à ces pratiques dégradantes en plein jour ; les souffleurs [c’est-à-dire : les pseudo-scientifiques] réels d’aujourd’hui ajoutent à la perversion des pratiques celle du secret ».

─ Extraits de l’œuvre Finis Gloriae Mundi, du V.M. Fulcanelli─.

Parallèlement à ces informations du Vénérable Fulcanelli, l’Avatar du Verseau ─ le V.M. Samael Aun Weor ─ effectue les affirmations suivantes dans l’œuvre LE CINQUIÈME ÉVANGILE, voyons :

« Notre planète Terre, mes amis, n’a pas toujours été comme maintenant, sa physionomie géologique a changé plusieurs fois. Si nous examinons les quatre cartes de Scott-Elliot, nous verrons que la Terre, il y a un million d’années, était complètement différente.

Ces quatre cartes géographiques méritent d’être prises en considération. Elles ressemblent aux quatre cartes qui existaient, et qui existent encore, dans certaines cryptes souterraines de l’Asie Centrale. Ces cartes sont inconnues des pédants de la science matérialiste. Elles sont gardées secrètement afin de les conserver intactes, car nous savons bien que les messieurs de la fausse science sont toujours prêts à tout altérer pour justifier leurs fameuses théories.

La première de ces cartes de Scott-Elliot attire beaucoup l’attention, elle s’avère extrêmement intéressante. On y voit comment était le monde, quelque huit cent mille ans av. J.-C.

Alors, la région des brachycéphales de la si fameuse anthropologie ultramoderne n’existait pas. Du détroit de Béring, en passant par la Sibérie et l’Europe, jusqu’à la France et l’Allemagne, la seule chose qu’il y avait, c’était de l’eau. Ni la Sibérie ni l’Europe n’avaient surgi, proprement dit, du fond des océans.

De l’Afrique, il n’existait que la partie orientale, car l’ouest et le sud de ce continent étaient submergés dans les vagues tumultueuses de l’océan. Ce petit continent, que constituait alors l’Afrique orientale, était connu sous le nom de Grabontzi.

L’Amérique du Sud était plongée dans les eaux de l’océan, elle n’était pas encore apparue. Les États-Unis, le Canada, l’Alaska, tout cela était submergé dans l’océan et, cependant, le Mexique existait ! Il semble incroyable que, huit cent mille ans av. J.-C., le Mexique existait déjà. Alors que l’Europe n’existait pas encore, le Mexique existait ! Alors que l’Amérique du Sud n’était pas sortie du fond de l’océan, le Mexique existait ! Cela nous invite à comprendre que dans les entrailles de la terre sacrée du Mexique, aussi archaïque que le monde, il existe des trésors archéologiques et ésotériques extraordinaires qui n’ont pas encore été découverts par la pelle des archéologues.

La Lémurie était, à cette époque, un gigantesque continent qui s’étendait dans le Pacifique, qui couvrait toute la zone de l’Australie, de l’Océanie, de l’Océan Indien – qui est si gigantesque – et qui se projetait sur tout le Pacifique jusqu’à ces endroits où, plus tard, surgit l’Amérique du Sud. Voyez comme la Lémurie était gigantesque, énorme ! La physionomie du globe terrestre était complètement différente il y a huit cent mille ans av. J.-C. […]

Il y a huit cent mille ans, le Mexique possédait une population énorme, merveilleuse, séparée du détroit de Béring par les grands océans. Ainsi, la science matérialiste parle de ce qu’elle n’a pas vu, de ce dont elle n’a pas connaissance. Nous, nous parlons sur la base de cartes comme celles d’Elliot Scott, de ces autres semblables qui se trouvent dans des cryptes souterraines de la chaîne de l’Himalaya, en Asie Centrale.

(Septième Conférence des Trésors de l’anthropologie gnostique).

L’Atlantide est passée par de terribles et épouvantables catastrophes avant de disparaitre totalement. La première catastrophe eut lieu il y a plus ou moins huit-cent mille ans. La deuxième il y a deux-cent mille ans et la troisième a eu lieu il y a onze mille ans, celle dont les traditions de toutes les races humaines gardent un souvenir plus ou moins confus comme « le Déluge Universel ».  

La Grande Race Aryenne – Cinquième Soleil dans le calendrier aztèque – est représentée par la grande cinquième statue de Bamiyan, dont nous sommes la septième sous-race.

(Syncrétisme gnostique dans le calendrier aztèque)

Évidemment, nous ne partageons pas la partie où Fulcanelli affirme que notre civilisation aurait commencé il y a 10000 ans, quand, selon lui, l’homme cessa d’être un chasseur pour se dédier à la culture de la terre, etc., etc. Nous ne croyons pas non plus qu’une race humaine dure environ les cent millions d’années que dure un tour galactique complet.

Cependant, apprécié lecteur, il est facile de déduire de ces textes que, bien qu’une race dure les 25960 ans qui composent l’année cosmique ou platonicienne avec ses douze ères zodiacales et en commençant en Verseau – tel que l’explique notre Vénérable Patriarche – LES ANNÉES COSMIQUES NE SONT PAS TOUTES peuplées par une nouvelle race, car certaines d’entre elles se dérouleront dans les très longs processus dont notre planète a besoin pour se préparer à l’expérience humaine suivante. Dans ces périples régénérateurs, les Génies Élémentaux travailleront sans cesse avec leurs forces de la nature en provoquant tout type de mouvements géologiques avec des éruptions volcaniques, des tremblements de terre, des vents et des mouvements des mers, afin de créer, au plus vite, de nouvelles conditions pour la race suivante.

C’est pour cela que le Maître Samael parle de centaines de milliers et même de millions d’années en arrière quand il se réfère aux anciennes races humaines.

Cela répondrait ainsi à la question que nous nous sommes posés durant si longtemps, sur comment intégrer dans le temps les races qui ont précédé la nôtre.

Évidemment, durant les temps où notre Terre se régénère, la plus grande partie des âmes peut rester dans le monde astral dans l’attente de nouvelles opportunités pour prendre des corps humains et aspirer à leur autoréalisation dans la race suivante.

Je vous remets, pour finir, quelques phrases pour réfléchir :

« La souveraine habileté consiste à bien connaître le prix des choses ».
La Rochefoucauld

« On peut être plus habile que les autres, mais il est dangereux de le laisser entendre ».
Coeulhe

« Résous-toi à suivre la conduite la plus excellente et tu t’y délecteras par habitude ».
Pythagore

« La vertu n’a pas de meilleur théâtre que celui de la conscience ».
Cicéron

« La Conscience est la voix de l’âme ».
Rousseau

QUALIS REX, TALIS GREX.
─‘Tel roi, telles ouailles’─.
KWEN KHAN KHU

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